L'atelier de samedi matin avait pour but d'aider les entreprises à intégrer leurs employés dans le processus de protection de l'environnement. "Les entreprises doivent poursuivre leurs efforts et passer de la prise de conscience à l'action" a expliqué Olivier Classiot. Pour Goeff Townsend, "elles doivent motiver et donner envie" aux gens de s'impliquer. Scott McAusland a, pour sa part, précisé que " la transparence est indispensable car ce qu'on ne connaît pas ne peut pas être changé".
Goeff Townsend a expliqué que les entreprises avaient "le devoir d'éduquer les gens". En s'appuyant sur des exemples concrets, il a expliqué que les entreprises avaient besoin de meiux connaître les consommateurs et d'établir avec eux une relation à long-terme. "Si on s'y met sérieusement, on en ressent les bénéfices" a-t-il dit. Il a présenté une méthode en huit points : déterminer les raisons de l'engagement de l'entreprise, indentifier quelques problèmes-clefs, communiquer ses intentions, prendre un engagement stratégique, lancer le processus (mettre en place des formations et donner des responsabilités aux employés), connaître les intérêts des consommateurs, innover, et faire des évaluations régulièrement.
Scott McAusland a insisté sur la nécessité de développer un langage commun pour le développement durable, d'établir un cadre de référence commun. Son entreprise souhaite réunir les chefs d'entreprise et collecter les rapports d'entreprise pour estimer leur participation au développement durable.
Elizabeth Pastore-Reiss a conclu : "Le vrai problème, c'est le changement des mentalités."
Anne Cantener
samedi 11 octobre 2008
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